Un État européen, solution ?
Les amis, J'ai un message à vous partager. C'est le résultat de longues recherches que j'ai effectuées et dont la conclusion fut triste, impossible à nier, mais source d'inspiration et de motivation.
(1) J'ai compris d'abord que plusieurs études* confirment que "l'intelligence" (ou plus précisément notre capacité à apprendre et à résoudre des problèmes) est à 60% héréditaire et est supérieure en moyenne chez les blancs. Jusque là tout va bien et je suis content de faire partie de ce groupe.
ex. https://www.youtube.com/watch?v=lk8sdMGJ3m4,
https://www.youtube.com/watch?v=j3lZe2OTBfQ
(2) Ensuite, j'ai appris que cette capacité est souvent horizontale à tous les domaines. Certes nous pouvons être plus ou moins "doués" pour un domaine donné, mais des gens intelligents, et vous en avez probablement rencontré à l'école, sont capables d'être très bons en littérature comme en science, en fournissant très peu d'effort : des théorèmes mathématiques abstraits et complexes leur paraissent triviaux, et en même temps, ils sont capables de maîtriser une langue étrangère, après seulement quelques mois passés à l'étranger.
(3) Le constat de toutes les études, sans exception, est que tout ce qui est héréditaire, à l'opposé de ce qui est culturel ne peut pas changer en l’espace de quelques générations. Si vous n'êtes pas intelligent, il est très probable que ce soit le cas aussi pour vos enfants et vos petits-enfants, surtout en communauté homogène fermée.
(4) L'avantage que nous les blancs avons sur les autres l'est uniquement en tant que moyenne stochastique. Il y a bien certains de nos cousins qui ne sont malheureusement pas très intelligents comme il y a certains non-blancs qui sont des génies (le CEO de Google est indien).
(5) Le dernier point que je suis incapable de nier et qui m'attriste est très important : la culture se mêle à l'héréditaire pour accélérer la sélection humaine au sein même de la race blanche et c'est à mon avis le plus grand problème à résoudre. Certains pays d’Europe, plus ou moins riches à une époque, ont développé la culture de la satisfaction de l'existant, de la paresse et des fêtes.
Cette culture naturellement attire les moins intelligents (d'ailleurs blancs ou immigrants ) et fait fuir toute personne intelligente en quête de ce qui est meilleur que le plaisir de l'instant (y a-t-il des Zuckenberg ou des Elon Musk en France ? non !).
C'est ainsi que se sont créés rapidement des mouvements de population entre les pays de l'Occident. Pour l'anecdote, la majorité des génies qui ont étudié avec moi en classes préparatoires mathématiques sont aujourd'hui à Londres, aux Etats Unis, en Allemagne... Comme par hasard, aucun d'eux n'a pris la direction de l'Espagne ou de l'Italie. Et une fois installés là bas, vous imaginez bien que leurs enfants y resteront aussi, créant ainsi une fracture entre les différents peuples blancs.
Au niveau politique, il y a deux moyens pour réagir à ce constat:
(A) faire parti de l'esprit "nordique" qui va augmenter cette fracture ainsi que l'isolement de la meilleure fraction. Mais jusqu'à quelle limite ? Il y aura toujours une partie de la population qui sera meilleure que le reste. Une ultra-minorité humaine isolée manquera de diversité naturelle, nécessaire pour innover.
(B) L'autre solution que je préfère est de suivre un mouvement comme celui de Thomas Ferrier (Parti des Européens), qui même s'il m'a paru irréaliste il y a quelques temps, me semble de plus en plus nécessaire : un État européen avec une langue commune en plus des langues régionales (c'est l'une des forces des États-Unis).
Cet État européen qui éliminera toute frontière culturelle, législative ou financière devra être solidaire et multiplier les initiatives comme Erasmus (pas seulement pour les étudiants mais aussi pour les travailleurs).
Cependant cette solution a comme condition nécessaire que toutes les cultures aspirent à la force et au meilleur (Make Europe Great Again!) tout en gardant leur délicatesse et le reste de leurs identités culturelles qui s'expriment localement de manières différentes. Et c'est possible, grâce à une meilleure éducation. Ceci est aussi hélas, pour être honnête, un argument contre le communautarisme primaire aujourd'hui.
(1) J'ai compris d'abord que plusieurs études* confirment que "l'intelligence" (ou plus précisément notre capacité à apprendre et à résoudre des problèmes) est à 60% héréditaire et est supérieure en moyenne chez les blancs. Jusque là tout va bien et je suis content de faire partie de ce groupe.
ex. https://www.youtube.com/watch?v=lk8sdMGJ3m4,
https://www.youtube.com/watch?v=j3lZe2OTBfQ
(2) Ensuite, j'ai appris que cette capacité est souvent horizontale à tous les domaines. Certes nous pouvons être plus ou moins "doués" pour un domaine donné, mais des gens intelligents, et vous en avez probablement rencontré à l'école, sont capables d'être très bons en littérature comme en science, en fournissant très peu d'effort : des théorèmes mathématiques abstraits et complexes leur paraissent triviaux, et en même temps, ils sont capables de maîtriser une langue étrangère, après seulement quelques mois passés à l'étranger.
(3) Le constat de toutes les études, sans exception, est que tout ce qui est héréditaire, à l'opposé de ce qui est culturel ne peut pas changer en l’espace de quelques générations. Si vous n'êtes pas intelligent, il est très probable que ce soit le cas aussi pour vos enfants et vos petits-enfants, surtout en communauté homogène fermée.
(4) L'avantage que nous les blancs avons sur les autres l'est uniquement en tant que moyenne stochastique. Il y a bien certains de nos cousins qui ne sont malheureusement pas très intelligents comme il y a certains non-blancs qui sont des génies (le CEO de Google est indien).
(5) Le dernier point que je suis incapable de nier et qui m'attriste est très important : la culture se mêle à l'héréditaire pour accélérer la sélection humaine au sein même de la race blanche et c'est à mon avis le plus grand problème à résoudre. Certains pays d’Europe, plus ou moins riches à une époque, ont développé la culture de la satisfaction de l'existant, de la paresse et des fêtes.
Cette culture naturellement attire les moins intelligents (d'ailleurs blancs ou immigrants ) et fait fuir toute personne intelligente en quête de ce qui est meilleur que le plaisir de l'instant (y a-t-il des Zuckenberg ou des Elon Musk en France ? non !).
C'est ainsi que se sont créés rapidement des mouvements de population entre les pays de l'Occident. Pour l'anecdote, la majorité des génies qui ont étudié avec moi en classes préparatoires mathématiques sont aujourd'hui à Londres, aux Etats Unis, en Allemagne... Comme par hasard, aucun d'eux n'a pris la direction de l'Espagne ou de l'Italie. Et une fois installés là bas, vous imaginez bien que leurs enfants y resteront aussi, créant ainsi une fracture entre les différents peuples blancs.
Au niveau politique, il y a deux moyens pour réagir à ce constat:
(A) faire parti de l'esprit "nordique" qui va augmenter cette fracture ainsi que l'isolement de la meilleure fraction. Mais jusqu'à quelle limite ? Il y aura toujours une partie de la population qui sera meilleure que le reste. Une ultra-minorité humaine isolée manquera de diversité naturelle, nécessaire pour innover.
(B) L'autre solution que je préfère est de suivre un mouvement comme celui de Thomas Ferrier (Parti des Européens), qui même s'il m'a paru irréaliste il y a quelques temps, me semble de plus en plus nécessaire : un État européen avec une langue commune en plus des langues régionales (c'est l'une des forces des États-Unis).
Cet État européen qui éliminera toute frontière culturelle, législative ou financière devra être solidaire et multiplier les initiatives comme Erasmus (pas seulement pour les étudiants mais aussi pour les travailleurs).
Cependant cette solution a comme condition nécessaire que toutes les cultures aspirent à la force et au meilleur (Make Europe Great Again!) tout en gardant leur délicatesse et le reste de leurs identités culturelles qui s'expriment localement de manières différentes. Et c'est possible, grâce à une meilleure éducation. Ceci est aussi hélas, pour être honnête, un argument contre le communautarisme primaire aujourd'hui.
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